Cette chemise Quat’z’Arts est éditée dans une très belle qualité de popeline blanche produite par le célèbre fabricant anglais Thomas Mason. D’une finesse et d’une douceur idéales, cette étoffe a été fabriquée à partir de coton égyptien et lavée trente fois après le tissage, ce qui donne ce toucher soyeux et frais. Le finissage et le rendu mat ont été particulièrement soignés, et ses boutons sont dans la meilleure qualité de nacre, celle venant d’Australie. Détail luxueux, l’étiquette est ici remplacée par une broderie ton-sur-ton.
Un classique hollington pour les amateurs de très belles chemises blanches…
Vous cherchez une chemise habillée mais confortable ? Essayez la chemise Quat’z’Arts ! Patric Hollington l'a intégrée à ses collections en 2000. Son idée était de dessiner une chemise à col cassé et poignets mousquetaire, très élégante, pour vous accompagner les jours spéciaux, ceux qu'on immortalisera d'une belle photo, ceux que vous n'oublierez pas.
Sa coupe, comme celle des classiques hollington, est droite, et la patte de boutonnage s’arrête à mi-corps. Patric a cependant préféré cette fois un col cassé au col Nehru. Certains d’entre vous choisissent de le porter ouvert, comme Patric et Alban, pour un esprit moins guindé. D’autres la garderont pour de grandes occasions et la porteront alors col fermé, lui ajoutant peut-être même un nœud papillon.
Attention, si les poignets mousquetaire sont le summum du chic, c'est parce qu’ils nécessitent des boutons de manchette − sans eux, vous ne pourrez pas les fermer !
Comme toute chemise hollington, la Quat’z’Arts est conçue pour rester pratique : elle comporte donc un pli d’aisance au dos et deux poches poitrine. Voila de quoi ranger facilement stylo, petit carnet, mouchoir ou... pochette de soie. Vous en verrez rapidement l’avantage esthétique.
Le nom de cette chemise de soirée, Patric l’a emprunté au Cabaret des Quat’z’Arts, à Montmartre. Situé au 62 boulevard de Clichy, tout près du Moulin Rouge, il a hébergé l'avant-garde artistique au tournant du XXe siècle. Peintres, poètes, écrivains et architectes s'y donnaient rendez-vous pour danser et rire − mais aussi défendre et protéger leurs idées. François Trombert, son fondateur, y avait fédéré un lieu de liberté d’expression et de création.
Dans l'enceinte du café, Le Mur, devenu célèbre, est une œuvre collective. Chacun y ajoutait dessins, caricatures, esquisses ou commentaires sur des sujets d’actualité. Les Quat’z’Arts journal, non moins célèbre, fixait sur papier cet esprit joyeux, irrévérencieux, et l’élan artistique qui régnait alors à Montmartre. Il se présentait comme un recueil d’histoires brèves, d’illustrations, d'anecdotes et de chroniques scandant l'amour de la Butte.
Dans le seul nom de cette chemise, il y a tout l’esprit d’un homme heureux ! Patric Hollington aimait faire la fête à sa manière élégante et courtoise, mais surtout en étant bien habillé.